‘‘Les prothèses mammaires sont très largement utilisées en chirurgie esthétique et ont prouvé depuis longtemps, leur efficacité et leur innocuité.’’
Lorsque la patiente présente une hypoplasie mammaire (seins de petite taille), leur objectif est de permettre une augmentation de volume adaptée à la morphologie et aux désirs de la patiente.
Les prothèses mammaires peuvent également être utilisées dans les cas suivants :
‘‘ L’insertion d’une prothèse mammaire peut être effectuée au dessus ou en dessous du muscle pectoral de la patiente et permet d’améliorer la fermeté, la tonicité, la tenue et la pérennité du résultat. ’’
La ptose mammaire traduit un glissement avec affaissement de la glande et une distension exagérée de l’enveloppe cutanée. Elle survient du fait des grossesses, mais également des variations de poids ou du relâchement des tissus liés à l’âge, ou tout simplement du fait d’une faible tonicité des tissus.
Un lifting des seins peut ainsi significativement rajeunir une silhouette, procurant un profil de poitrine plus jeune et plus haute.
L’hypertrophie mammaire définit un volume des seins trop important par rapport à la morphologie de la patiente. La poitrine est lourde et tombante, et il s’y associe une ptose avec un relâchement des tissus les manque de tonicité.
L’intervention chirurgicale de réduction mammaire a pour but de diminuer le volume des seins, et de corriger la ptose.
La mise en place d’une prothèse mammaire dans le même temps que la correction de la ptose, permet d’éviter cet affaissement secondaire. Le résultat obtenu est alors celui d’une poitrine ferme et de bonne tenue avec un résultat stable et durable. On parle alors de plastie prothèse mammaire ou PPM.
C’est au cours de la consultation que les objectifs seront déterminés et l’examen clinique minutieux permettra d’en apprécier les possibilités.
L’emplacement de la cicatrice, la situation de la prothèse par rapport au muscle, le type et la taille de la prothèse qui va être posée par le chirurgien seront décidés lors de la première ou de la seconde consultation. Le contexte anatomique, les caractéristiques physiques et les désirs exprimés par la patiente seront déterminants dans le choix des prothèses.
Le plus souvent, ce type d’intervention concerne les patientes de 35 à 50 ans qui, après leurs grossesses et les variations de poids, ont vu leur poitrine se modifier considérablement, s’affaisser, perdre leur maintien et leur tonicité.
Trois types de prothèses mammaires peuvent être utilisées :
Lors de la consultation, une explication personnalisée vous sera donnée. De même que seront définis la nature et le volume de la prothèse qui convient dans votre cas.
Sur un plan statistique, on dit que la durée de vie d’une prothèse mammaire est de l’ordre de 10 ans (en fait souvent davantage, et les cas de prothèses intactes après plus de vingt ans de pose sont fréquents). Il peut en effet apparaitre dans le temps une usure de l’enveloppe de la prothèse qui conduit alors à son changement. Des contrôles échographiques réguliers seront prescrits pour apprécier au mieux l’intégrité de cette enveloppe. Ce n’est qu’en cas d’usure avérée et confirmée qu’un changement de prothèses sera décidé.
Sur un plan statistique, on dit que la durée de vie d’une prothèse mammaire est de l’ordre de 10 ans (en fait souvent davantage, et les cas de prothèses intactes après plus de vingt ans de pose sont fréquents). Il peut en effet apparaître dans le temps une usure de l’enveloppe de la prothèse qui conduit alors à son changement. Des contrôles échographiques réguliers seront prescrits pour apprécier au mieux l’intégrité de cette enveloppe. Ce n’est qu’n cas d’usure avérée et confirmée qu’un changement de prothèse sera décidé.
L’association d’une plastie qui retire les tissus exédentaires et corrige la ptôse associée, et la mise en place d’une prothèse, le plus souvent derrière le muscle, redonne à la poitrine la tenue, la fermeté et la tonicité perdues.
Les résultats observés indiquent un fort indice de satisfaction auprès des patientes qui retrouvent une féminité, et une silhouette mise à mal par les grossesses et les nombreuses variations de poids.
La pose de la prothèse ne modifie en rien la fonction du sein et le système hormonal continue de fonctionner normalement. A moins que l’organisme ne rencontre des difficultés à supporter la prothèse (induration, douleur), ce qui est rare, la patiente va reprendre une activité normale, professionnelle et sportive au point d’oublier l’intervention, « intégrant » ainsi parfaitement son résultat.