Elle s’adresse aux patients qui souffrent d’avoir un nez trop long, trop massif, avec ou sans bosse, parfois dévié, ou au contraire trop court et plat (ensellure nasale).’’
L’analyse et l’expérience du chirurgien esthétique sont déterminants dans ce type d’intervention car le nez est une partie essentielle de l’esthétique d’un visage et que les modifications à apporter s’apprécient aussi en relation avec les autres structures du visage : les yeux et le menton notamment.
C’est intervention a connu de très importants progrès ces dernières années. La technique dite de la voie ouverte permet d’obtenir des résultats personnalisés et naturels, évitant en particulier les résultats stéréotypés que l’on observait naguère. On parle de rhinoplasties conservatrice et fonctionnelle.
Dans certains cas précis, la rhinoplastie peut être médicale (injections d’acide hyaluronique) et non chirurgicale.
‘‘Je n’ai jamais aimé mon nez.
Clairement, il n’avait aucune cohérence dans mon visage. Large, aplati, et la pointe molle.’’
On aurait dit un accident. Un médecin, un jour, a parlé de traumatisme obstétrical. Lors ce que j’ai décidé de faire cette intervention de rhinoplastie, personne dans mon entourage n’y voyait d’objection.
« Je savais que mon cas n’était pas banal. J’ai consulté le Docteur Jacques Ohana, chirurgien esthétique à Paris, qui avait opéré une amie à moi, du nez également. »
Il m’a bien expliqué la spécificité de mon cas. Il m’a montré sur des dessins les raisons de cet aplatissement du nez. Il m’a également expliqué la nécessité « d’armer » pour les soutenir les différentes structures du nez et d’utiliser pour cela des greffes de cartilage.
L’explication était claire et cohérente et j’ai vu sur des modifications par ordinateur une idée du résultat qu’il serait possible d’obtenir.
‘‘Je n’étais pas particulièrement anxieuse le jour de l’opération.’’
Ma rhinoplastie chirurgicale a duré approximativement une heure et demie et je suis resté 24 heures en clinique esthétique. Les suites ont été simples et sans douleur. Mon visage était gonflé mais je n’ai pas eu mal. L’équivalent d’un rhume désagréable.
‘‘Le moment le plus délicat pour moi allait arriver. Huit jours plus tard, on allait enlever le plâtre’’
Quel soulagement ! Je découvrais enfin un nez de forme normale, équilibré et bien dessiné. Bien sûr, il était encore gonflé. J’en avais été prévenue. Il a fallu être un peu patiente pour le voir reprendre progressivement sa forme définitive. Il me reste à suivre quelques conseils pour qu’il retrouve une souplesse une mobilité normale. J’ai enfin le nez qui me ressemble !
‘‘ La rhinoplastie chirurgicale peut changer toute l’harmonie du visage pour soulager le patient sur le plan physique et psychologique ‘‘
L’intervention est définie selon les disgrâces spécifiques du patient. Ces dernières peuvent être congénitales (de naissance) ou faire suite à un traumatisme du nez (accident). Il arrive aussi qu’avec le temps, le nez devienne plus massif ou que l’évolution globale du visage le fasse paraître plus proéminant qu’auparavant.
L’objectif du chirurgien esthétique du nez est d’obtenir un nez d’aspect naturel, correspondant aux attentes du patient et en totale harmonie avec les autres caractéristiques du visage.
Les tissus reprennent progressivement un aspect naturel et vous aurez une bonne idée du résultat définitif vers la fin du deuxième mois. Les photos avant/après délivrées par le chirurgien esthétique vous permettra de constatez par vous-même de l’embellissement de votre nez et de votre profil.
La rhinoplastie est extrêmement pratiquée en France et à travers le monde mais cet acte esthétique reste important tant sur le plan technique que psychologique. Ce dernier aspect doit être abordé avec le chirurgien car il conditionne en partie la satisfaction du patient. L’expérience et l’expertise du chirurgien sont fondamentales pour tout acte chirurgical, mais l’analyse des motivations et des attentes du patient revêt une importance particulière en rhinoplastie.